dimanche 17 août 2014

je bosse pour que tu m'insères je ne sais où

Ce boulot est devenu trop dur. Trop dur de l'ennui qu'il provoque. Il y a trop de terres stériles. La déception prend trop de place, des ratages, des erreurs qui s'accumulent, qui remettent tout en question. Qui lassent lorsqu'ils prennent trop d'importance. 
Tout leur dire, aux uns et aux autres, recoller les morceaux pour former un tout : la vérité. 
A n'être en contact avec chacun que quelques instants, je ne lâche que des brides... 
Cette impression de brasser du vent, d'être utilisée par des esprits étroits et égoïstes, et de ne laisser derrière moi que feuilles mortes et poussière... 
D'ici et d'ailleurs, de nulle-part, en morceaux...  

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