Si mon écriture est anémiée,
Si je souffre d'absences, de disparitions, de mes silences forcés, de coups d'épée dans l'eau et parfois dans le dos,
Il y a la photographie, un enthousiasme toujours vif, pour la vie, les gens, la nature,
Et ce sentiment de gratitude qui ne m'a jamais abandonné ; ce fil d'acier, ma rage de vivre.
@MoMaitte
vendredi 16 août 2019
mardi 13 août 2019
Dans la marge
Je reste dans la marge, hors temps, dans l’ombre, entre deux rives et le murmure des absents
destructrice
Ce mélange d’eaux rances qui coulent à flot continu en surface et sous-marine, des mots en eaux putrides débordent de sa bouche caniveau en entraînant les fragiles et les haineux sur une même route de désolation ;
je fais silence face à l'écho suffocant, je réécrirai l'heure ensoleillé.
@MoMaitte
je fais silence face à l'écho suffocant, je réécrirai l'heure ensoleillé.
@MoMaitte
lundi 12 août 2019
L'écho n'est plus
L'écho de tes mots reproches ne résonnent plus,
Ils n'accrochent pas l'encre sur le papier,
Ils se sont brisés à la caresse du soleil, aux rires, aux bonheurs simples, aux petits riens de la vie
Ils n'accrochent pas l'encre sur le papier,
Ils se sont brisés à la caresse du soleil, aux rires, aux bonheurs simples, aux petits riens de la vie
La désamitié
J'écris pour évacuer la petite blessure,
J'ecris pour éloigner les mots fielleux
J'écris pour revenir au plaisir délicat
Au cœur de la nuit j'écris un rêve où la peine qui s'immisce est poésie
J'ecris pour éloigner les mots fielleux
J'écris pour revenir au plaisir délicat
Au cœur de la nuit j'écris un rêve où la peine qui s'immisce est poésie
jeudi 1 août 2019
le beau n'a pas éclos
je compte
en heure, puis en jours un à un et je compte en semaines, je compte en toute amitié.
j'y pense dans le clos des mots sans bruit,
dans l'intime emmuré, dans le sommeil du cœur.
j'ai compté
en vain, en noir, en vide, en creux et en bosses,
jusqu'à la seconde, qui résume tout en une seconde ; entre nous, le beau n'a pas éclos.
en heure, puis en jours un à un et je compte en semaines, je compte en toute amitié.
j'y pense dans le clos des mots sans bruit,
dans l'intime emmuré, dans le sommeil du cœur.
j'ai compté
en vain, en noir, en vide, en creux et en bosses,
jusqu'à la seconde, qui résume tout en une seconde ; entre nous, le beau n'a pas éclos.
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