vendredi 29 juillet 2016
pour vivre
pour vivre c'est de désobéissance, de gentillesse, de douceur, de poésie et de fantaisie dont j'ai besoin ...
C'est triste
Il a le bonheur égoïste , mais partage à outrance ses malheurs ....
Il est de ce début de millénaire où chacun pense être la plus grande victime.
Même les tragédies qui s'affichent sur son écran, lui laissent croire qu'il est la pire des victimes, le seul être sensible dans une humanité à jeter .
C'est triste comme condition humaine, non ?
Il est de ce début de millénaire où chacun pense être la plus grande victime.
Même les tragédies qui s'affichent sur son écran, lui laissent croire qu'il est la pire des victimes, le seul être sensible dans une humanité à jeter .
C'est triste comme condition humaine, non ?
Vivre et laisser vivre, bordel !
Si le désir d'un autre monde plus juste, plus équitable, plus écologique et plus épanouissant se traduit par de l'arrogance et de l'acrimonie, ça promet pour l'autre monde ....
Vivre et laisser vivre, bordel !
Vivre et laisser vivre, bordel !
mercredi 13 juillet 2016
Des instants de souvenirs
A force de détours, de changements de direction, voilà que je me retrouvais en promenade
Le temps filait, mes pas sous la chaleur se faisaient lents, j'avais le temps de voir mille détails
Ces chemins, ces rues, ces lieux, ces bâtiments, je les découvrais pour la première fois
Je sais que nous les avons parcourus ensemble à plusieurs reprises, j'ai des instants de souvenirs
Le temps filait, mes pas sous la chaleur se faisaient lents, j'avais le temps de voir mille détails
Ces chemins, ces rues, ces lieux, ces bâtiments, je les découvrais pour la première fois
Je sais que nous les avons parcourus ensemble à plusieurs reprises, j'ai des instants de souvenirs
mardi 12 juillet 2016
point de jour
d'un point du jour à un autre point de jour
un point de croix
crois-tu que l'on se retrouvera
croix de bois sans soif
soif de nous-toi-moi
crois moi
je mens ferme en point de toi
point de toi
point de nous au point du jour
nuit agitée et les suivantes
la scène se répète, nette
nette ment le flou s'installe
flou de nos amours
Un tourbillon implacable
chaque ellipse ravivant l’émotion
mon inconscient récalcitrant me ramène à lui
d'un point du jour à un autre point de jour
un point de croix
crois-tu que l'on se retrouvera
croix de bois sans soif
soif de nous-toi-moi
crois moi
je mens ferme en point de toi
point de toi
point de nous au point du jour
nuit agitée et les suivantes
la scène se répète, nette
nette ment le flou s'installe
flou de nos amours
Un tourbillon implacable
chaque ellipse ravivant l’émotion
mon inconscient récalcitrant me ramène à lui
d'un point du jour à un autre point de jour
dimanche 10 juillet 2016
ton absence
ton absence prend tout son sens dans l'apaisement qui m'a envahi, je n'ai plus d'angoisse ; ni passagère, ni résiduelle
il n'est pas facile d'être soi-même quand on est sans-cesse en quête d'un rêve, sans savoir exactement quoi
alors qu'il suffirait de se perdre en rêvant d'un amour dont on ne revient pas
il n'est pas facile d'être soi-même quand on est sans-cesse en quête d'un rêve, sans savoir exactement quoi
alors qu'il suffirait de se perdre en rêvant d'un amour dont on ne revient pas
les mots
les mots et certains silences sont autant d'éloignement, il me faut inventer les mots qui seraient une présence
jeudi 7 juillet 2016
souffle
parfois je retiens mon souffle de peur qu'il ne s'échappe en entraînant mes pensées, me laissant la tête vide et le coeur dé-battant
mercredi 6 juillet 2016
Légère comme une libellule
J’ai aimé ces heures vibrantes révélant l’intense présence de l'autre
Je saurais renouer avec le temps de la douceur
Je me sens aussi légère qu'une libellule
Le moment de l'amour est juste reporté
Je saurais renouer avec le temps de la douceur
Je me sens aussi légère qu'une libellule
Le moment de l'amour est juste reporté
L'utopie
La poésie efface toutes les ecchymoses
Quelles soient apparentes ou captives
Mais, elle dévoile aussi la vie en utopie,
des jours qui naissent en larmes.
Quelles soient apparentes ou captives
Mais, elle dévoile aussi la vie en utopie,
des jours qui naissent en larmes.
Là ; nos intérieurs
Je voudrais être ailleurs ; partir dans un mot inconnu et flotter avec lui.
La poésie est toujours là où repose la lumière ; s'accrochant au clavier.
J'aperçois ta silhouette qui s'effrite en grains de sable que chasse la marée.
Je laisse à la brise le soin de porter nos voies et de panser nos intérieurs.
Je laisse à la brise le soin de porter nos voies et de panser nos intérieurs.
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