D'eux on ne connait rien. Ils sont là dès l'aurore.
Dos posés contre le mur et mains tendues.
D'eux on ne veut rien savoir
Même si l'on peut deviner l'épuisement des corps.
Nos oreilles, nos yeux sont détournés par la vie de la ville,
Et l'on reprend nos marches de l'oubli.
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