parce que le vent sur nos peaux n'efface rien ;
parce que nos vies ne trouvent d'échos nulle part ;
parce que les regards entrevus s'éloignent ;
parce que notre fureur est tissée d'un silence lourd ;
parce que nos douleurs se télescopent ;
la voix de l'intime s'envole dans les songes et les vers
Mo.Maitte
23 juillet 2012
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